Ballade au pied du volcan

Naelïne et moi nous baladons devant le Volcan, ce la me rappela mes débuts de jeune loup, mais quelques jours plus tard j'était devenu l'alpha mâle de notre clan le clan pyros. (étais heureux d'avoir une louve Alpha comme Naëline car elle me comprenait, je l'aimait et la cherirait tout ma vie d'Alpha. En pensan à elle je me retourna vers elle et lui dit :

Cheri si nous partons chasser en amoureux quand dit tu ?

Je me prépara à chasse en sa compagnie, tout en attendant sa réponse et regarda dans les alentours si il y avait du bétail que l'on pourrait chasser.

[Excuse moi je n'ai pas pus répondre, mon stage m'a pris tout mon temps libre]

J'avançais sur le flan du volcan tel une ombre ondulant dans la nuit étoilée. Mon pelage n'était pas noir mais je me sentais comme cela ; une ombre parmis les ombres.
Finalement mon tendre compagnon avec qui je surveillait notre territoire m'adressa la parole avec une voix où je retrouvais toujours l'amour qu'il me portait.

Cheri si nous partons chasser en amoureux quand dit tu ?

Je ris d'un rire lupin. Cela me rappellait de long et heureux souvenirs innocents et qui rimaient avec paix et joie.

Comme le jours de notre rencontre. Tu sais que je ne refuserais jamais de passer un moment avec toi. J'aime chasser et chasser avec toi me fais toujours très plaisir.

Je me serrais contre lui. Ses muscles qui dormaient sous son pelage ondulaient contre les miens.
Ce contact me rappellait pourquoi je l'avait choisis lui, et pas un autre. Il m'aimais, il était tout ce que j'aimais chez un loup, il était fort et courageux. Il ferait tout pour moi. Comme moi je ferais tout pour lui.
Mes narines frémirent en quête de l'odeur d'un gibier.
Diverses odeurs venaient à moi tel une sources d'innombrables informations que j'assimillais sans comprendre commen je savais que, par exemple, un lapin femelle blessé c'était arrêter non loin et continuer son chemin par la suite.
Là, une portée de rongeur à vus le jour mais aucune trace de leurs museau ne s'offrais à mes yeux.

Que veux-tu chasser ?

Ma voix, contrairement à lui, ne contenait pas tout l'amour que je lui portais, mais il savais que je l'aimais et que j'étais attachée à lui...

(H.S : ne t'inquiète pas moi non plus je n'était pas présent pendant un petit moment avec mon travaille.)

Ma compagne me répondit d'un rire qui me fit sourire, et elle me rappela au souvenir :

Comme le jours de notre rencontre. Tu sais que je ne refuserais jamais de passer un moment avec toi. J'aime chasser et chasser avec toi me fais toujours très plaisir.

Oui jamais je n'oublierai un tel moment, et je tient tellement à toi que j'y laisserai ma vie pour te protéger. Lui répondais-je en me frottant contre son museau. Puis je me mit à renifler les multiples odeurs qui s'offraient à nous, quand je vit que ma compagne vit un lapin et une porté de jeune rongeur. Elle me demanda en me regardant et en parlant d'un ton tout à fait normal :

Que veux-tu chasser ?

Et avant de lui répondre j'avais repérer un cerf non loin de notre position et je lui dit en lui souriant :

Eh bien pourquoi ne pas chasser le petit cerf là-bas à droite. Qu'en dit tu ma louve adoré ? Lui demandais-je avant de me mettre en position, prêt à chasser. Je m'approcha tout doucement et regarda derrière moi pour voir si elle m'accompagne toujours. Visiblement oui, alors je me retourna en direction du cerf qui se trouvait seulement qu'à quelque pas devant nous. Je me mit en position prêt à bondir, je tournais ma queue comme l'avait appris mon père et sauta sur notre proie. Tout d'abord je lui mit un bon petit coup de mâchoire dans le cou.
Et le fit basculer sur le côté droit, je le soulagea de cette blessure en lui tordant le cou, le sang de cette animal coulait dans ma bouche ce qui me donna une sensation de bien être et d'apaisement. Avant d'hurler je regarda autour de moi personne n'était là à part moi et ma louve.

Puis je la vit non loin et hurla vers elle avant de lui dire : Ma louve adoré, le repas et servi.